martes, 8 de abril de 2008

Ah la musique!




J'ai, j'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De faillir, d�faillir,
Jusqu'� mesurer le prix
Mais qu'est c'qui m'arrive.

Je ris aux larmes, je larme aux ris
Mais, qu'est c'qui m'arrive.

Je dors au bord de mon lit
Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas
ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop

Oh oh oh comme je d�teste
Je ne suis pas
ce que je suis
La lune qui me surveille
La lune est dans mon dos

J'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De railler, d�railler
Epuiser toute mes envies
Mais qu'est c'qui m'arrive

J'oublie, je bois, je bois l'oubli
Mais qu'est c'qui m'arrive.

Je dors au bord de mon lit
Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas
ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.

J'ai, j'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De conduire, d'�conduire
Les hommes, au bout de la nuit

Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas
ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.

Oh oh oh comme je d�teste
Je ne suis pas
ce que je suis
La lune qui me surveille
La lune est dans mon dos.

Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas
ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.

viernes, 4 de abril de 2008

That's all folks!



3/04/08

Llega la ruidosa comparsa

Entre los vericuetos de la ciudad:

- Hear! Hear, little ones! Come closer now (...)

It’s me again, The owner of your nastiest dreams

and this is The show of the imposible creatures -

Lúmpenes y nobles se agolpan en la plaza cenicienta,

pelean por el centro y sus colores.

-­ ¿Qué nos traes, señor? ¿Qué seres beberán de nuestra inquina esta noche?

- Ninguno de los míos, mas uno de ustedes vendrá conmigo – dicho esto te mira a los ojos, se acerca hasta golpearte con su aliento caliente, hasta morder tu costado y poseer la mitad de tu cuerpo en sus entrañas.

Hasta escupir tus restos junto a tus nuevos hermanos.

Cae el telón y partes. Él se despide:

That’s all folks!

miércoles, 2 de abril de 2008

13/10/07

Otra vez la inexorable tormenta:
Una melodía sucia, una mirada tenebrosa
Una y varias sobre mí y detrás de mis párpados.

Entonces, sé desarmarme y huir convertido en sonido;

transformado en oxidadas arcadas.
Me difumino hacia ancón de mis recuerdos verdes y acampanados

Para llegar.

Se me ordena tomar forma. Obedezco:
Me despojo de los ecos oxidados, del latón gastado.
Quedo yo, que soy SILENCIO.

Me sostengo vibrante cuando El guardián de la Izquierda golpea su espada roja contra lo empedrado del suelo.

No resisto más y me entierro en el sonido de la espada, tan familiar para mí.